HAPPILY EVER AFTER
Della Street
 
 


Traduction : Gabri.L

**********


Hercule s’avança en traînant les pieds d'un air fatigué vers le porche de sa maison. A quelques pas du seuil il fit une pause, ses oreilles détectant des sons provenant de la pièce.

"Ohhh, Gabrielle ... C’est tellement bon ... mmmm...."

"Mmm... Je suis contente que tu l‘aimes."

"Oh, ouais ... Encore...."

Hercule s’engouffra derrière le rideau. Sa femme et sa meilleure amie- la femme de son meilleur ami - levèrent les yeux d'un grand bol posé dans les mains Xena. Gabrielle immobilisa la cuillère qu’elle avait utilisé pour remuer la substance pâteuse.

"Oh, bonjour, Hercule," dit Xena. "Tu nous as découvert."

"Nous voulions vous faire une surprise," ajouta Gabrielle, en montrant le bol. Elle jeta une minuscule pincée d'épices dans le plat et remua. Après un moment, elle plongea son index dans le mélange et le tendit vers Xena. "Comment le trouves tu maintenant ?"

Xena prit le doigt de Gabrielle dans sa bouche et le suça doucement, le léchant pour le nettoyer avec sa langue. "Mmmm...." Elle croisa le regard de son amie. "J‘aime."

Gabrielle s’éclaircit la gorge. "En réalité", dit elle, "c'est le même doigt que j'ai utilisé auparavant. Il avait peut être encore le goût d’avant que je n’ajoutes l'épice. Tu veux un autre doigt ?"

Les femmes se regardèrent à nouveau. "Hmm mm ...," murmura Xena. "Je n’attends que ça."

Gabrielle racla un peu de pâte sur son médium et le tendit. Xena attrapa une goutte sur sa langue, puis ferma les lèvres autour du doigt et le dégusta, sa langue se déplaçant lentement de haut en bas pour s'assurer de tout avoir.

Hercule observa la façon dont sa femme suçait le doigt de son amie et se sentit rougir. Il ne voulait pas embarrasser les femmes en disant quoi que ce soit, mais la scène était vraiment très stimulante.

"C’est meilleur à chaque fois," dit Xena d'une voix basse.

Gabrielle replongea délicatement son doigt dans la mixture et l'apporta aux lèvres de son amie.

"Qu'est-ce que c'est ?"

Les femmes tournèrent brusquement leurs têtes vers Hercule, semblant presque avoir oublié sa présence.

"Oh, c’est, euh, quelque chose," bredouilla Gabrielle.

Hercule sourit ; c’était drôle comment le barde devenait muet quelque fois. Il s’approcha et se pencha sur Xena. Elle tourna légèrement sa tête, lui offrant sa joue et Hercule se mit à rire. Sa guerrière de femme était étonnamment timide avec les démonstrations publiques d'affection, même en privé. Il l'embrassa sur la joue.

"Iolaus s'est arrêté chez vous," dit-il à Gabrielle.

"Qui ?" Gabrielle regardait fixement son doigt toujours dans la bouche de Xena.

"Iolaus. Ton mari."

"Oh, ouais." Gabrielle gonfla une de ses joues, puis commença paresseusement à se glisser du comptoir sur lequel elle était perchée. La plate-forme en bois lisse était la place habituelle du barde, bien qu'Hercule se rappelait être rentré à la maison une fois la trouvant assise sur leur table de salle à manger, avec Xena debout à côté d‘elle. "Xena me voulait sur la table," avait-elle expliqué, au haussement d'épaules du grand homme. Xena n’avait évidemment pas assez réfléchi - la table était simplement trop basse pour Gabrielle pour être à hauteur des yeux.

"Je suppose que je devrais y aller," dit Gabrielle.

Xena entoura la taille de son amie lorsque ses pieds touchèrent le sol. "Il saura où tu es."

"Gabrielle ?" La voix d'Iolaus se fit entendre, sa tête blonde passant le rideau l’instant d’après. "Tu es là."

"Hé, Iolaus." Gabrielle agita deux ou trois doigts.

Iolaus s’approcha de sa femme à bras ouverts, mais tout à coup Xena fut sur le chemin. "Oh, désolé, Xena," dit-il, commençant à la contourner. "Oh, oops." La femme plus grande était à nouveau sur son chemin. Iolaus se tordit le cou et une petite main apparut sous le bras de Xena. Il la serra et la main se retira derrière la guerrière.

"Ainsi, comment ça s’est passé ?" Demanda Xena.

"Eh bien, c'est drôle," répondit Hercule. "Quand nous sommes arrivés là bas, il n'y avait pas d'alerte."

"Vraiment," déclara Xena , le visage inexpressif.

"Ouais. Ils n'avaient pas même pas demandé notre aide." Iolaus jeta ses mains en l‘air.

"Sans rire. Je suis certaine que c'est ce que l'on nous a dit." Xena se tourna vers la femme sous son bras. "N'est-ce pas, Gabrielle ?"

"Oh, oui. Pas de doute," confirma le barde. "Vous savez," sa main remua négligemment dans l'air, "cette gorgone est probablement reparti tranquillement et ils étaient trop embarrassés pour admettre que c'était une fausse alerte."

"Pourtant, ils auraient du le dire," bougonna Iolaus. "Ce fut un long chemin à parcourir pour rien."

"Ouais, pas de chance," dit Xena. "J'espère que la même chose ne nous arrivera pas."

Les deux hommes la regardèrent.

"On a besoin de nous" Expliqua Gabrielle.

"Mais nous venons juste de revenir," dit Iolaus.

"Ouais, nous savons."

Hercule fronça les sourcils. "Maudis soit notre chance. Alors où allez vous ?"

"Niagarus," Répondit Xena.

"Niagarus ?" Iolaus gratta sa tête. "J'en ai entendu parler. On l’ appelle le Jardin des Amants, non ? Je n'ai jamais eu connaissance de problème chez eux auparavant."

"Eh bien alors, c’est encore plus essentiel pour nous d’aller le vérifier," dit Xena.

Gabrielle hocha la tête avec enthousiasme.

"Je pense que cela pourrait être intéressant," dit Iolaus incertain. "Ils n'ont pas une sorte de plan d'eau là bas ?"

"Une belle cascade enchantée pour se baigner dessous," dit Gabrielle, en fermant ses yeux. Elle enroula sa main autour du coude de Xena. "Des champs verts à perte de vue pour se rouler dedans..." Ses doigts trainèrent légèrement de haut en bas sur le bras de son amie. "Les rayons du soleil réchauffant votre peau nue pendant que vous-"

"Nous devrions y aller," annonça Xena. "Nous serons probablement de retour dans deux ou trois mois."

Les hommes se regardèrent et haussèrent les épaules. On ne pouvait rien y faire.



                                                                  **********



Iolaus se tenait à côté de Gabrielle pendant qu’elle préparait son sac. "Vous devez vraiment partir aussi vite ?"

"Eh bien, Xena veut y aller et tu sais comment elle est - quand elle veut quelque chose, elle le veut tout de suite." Elle bourra sa tenue de rechange à l'intérieur de son sac, et ensuite se dirigea vers la commode pour ouvrir un tiroir. "Elle aime que je sois prête à tout moment." Gabrielle saisit une poignée de sous-vêtements et les jeta sur le lit. Elle regarda la pile un instant, puis vida le tiroir pour tout mettre dans le sac.

"Ouais, euh, mais je pensais que tu pourrais vouloir..." Iolaus se rapprocha d'elle, mais le barde se dirigea vers la commode à nouveau.

"Vouloir quoi ?" Gabrielle sortit un foulard et pinça ses lèvres pensivement. Elle tira doucement sur les deux extrémités puis souriant sortit un second foulard et les rajouta tous les deux dans le sac.

"Tu sais..." Iolaus montra vivement le lit de sa tête.

"Hum ? Oh, désolé, Iolaus. Le devoir m‘appelle."

Quelque chose glissa des mains de la blonde et tomba sur la couverture. "Qu'est-ce que c’est ?" Demanda Iolaus curieusement, soutenant un vêtement simple, de couleur sombre.

"Ma chemise de nuit."

Iolaus toucha la matière. "C‘est assez fin." Il la dirigea vers la fenêtre. "C’est presque transparent."

"Je la porte quand il fait chaud," dit-elle, lui reprenant des mains et le glissant à l'intérieur du sac. "C'est noir, alors un agresseur devrait être juste au dessus de moi pour me voir dans l'obscurité."

"Vraiment ? Et ça fonctionne ?"

Gabrielle sourit. "A chaque fois."


                                                                         *********



Iolaus suivit Xena dans sa chambre, marchant de long en large à côté du lit pendant que la guerrière triait son peu de biens.

"Quelque chose te tracasse, Iolaus ?"

"Eh bien, en quelque sorte..." Il hésita. "Puis-je te demander quelque chose, Xena ?"

"Peut-être."

"Je me demandais juste ... Parlez-vous de sexe toi et Gabrielle ?"

Les mains de Xena s’arrêtèrent et elle étudia la question. "Parler ? Ouais, parfois."

"Comment crois tu que Gabrielle se sente à ce sujet ?"

"Eh bien, les bardes ont tendance à être très passionnés, tu sais."

"Je ne sais pas justement." Xena le regarda et Iolaus rougit. "Nous n'avons jamais en vérité ... tu sais, fait cela."

"Vraiment."

Iolaus s’assit sur le lit. "Je sais que toi et Herc vous ne le faites pas - je veux dire, je sais que cela te rend mal à l’aise de faire des choses que tu avais l'habitude de faire quand tu terrorisais tout le monde, comme le pillage, le vol, les relations sexuelles..."

Xena passa sa langue à l'intérieur de sa joue. "Exact".

"Et bon, je le respecte. Mais, tu sais je pense que Gabrielle pourrait ... je veux dire, elle m'a embrassé au mariage."

"Le mariage," répéta Xena lentement. "Le dernier souhait de Sa mère."

"Ouais." Iolaus hocha la tête solennellement, puis se mit à rire. "C’est drôle la façon dont elle s’est étonnement rétablit pas vrai ?"

"Hilarant."

"Quel grand jour," se souvint Iolaus. "Le double mariage du siècle. Se déroulant sans un problème, mis à part ce combat de couteau dans la section des mariés."

Xena grogna. "Ca a pris du temps pour Gabrielle de le rompre." Maugréa t'elle.

"Et quel mélange à la fin." Iolaus se mit à rire. "' Vous pouvez embrasser la mariée, '" dit-il , en imitant le prêtre d'un geste spectaculaire. "Alors toi et Gabrielle vous vous êtes tournées et vous vous êtes embrassées." Il frappa sa cuisse, riant sottement et renifla fortement. "Qui aurait pensé que les choses se passeraient aussi bien pour nous ?" Au bout d’un moment, il se rappela le sujet de la discussion. "Oh. alors, tu ne saurais pas pourquoi Gabrielle ne voudrait pas...." Il illustra la chose d'un geste cru.

"Elle se réserve peut être pour la bonne personne," dit Xena, reprenant son empaquetage.

Iolus fronça les sourcils. "Je suis son mari."

"Oh, ouais." Xena haussa les épaules. "Eh bien, vous n’avait pas vraiment passer beaucoup de temps ensemble." Elle fit le noeud de sa sacoche. "Tu ne voudrais pas précipiter quoi que ce soit. SI j'étais toi j’attendrai quelques années, histoire de voir ce qui arrive."

Les yeux de Iolaus s‘illuminèrent. "Tu as raison. Elle vaut l‘attente." Il sourit fièrement. "Elle est plutôt attirante, pas vrai ?"

"Incroyablement."

"Un visage adorable ..." il soupira, "des mains délicates ......."

Xena s’assis à côté de lui, son propre regard perdu au loin. "... des cuisses fermes ... des seins qui tiennent parfaitement dans vos mains...."

"Un jour je pourrait toucher sa joue ... embrasser ses lèvres...."

"... enterrer son visage entre ses jambes ... sentir ses mains s'accrocher à vos cheveux ... Voir son corps se arquer quand elle crie ton nom...." Xena se leva brusquement. "Gabrielle est-elle venue ici avec toi ?" Demanda t’elle.

"Ouais, elle-"

Xena quitta la chambre, avec Iolaus trainant derrière elle. La guerrière découvrit Gabrielle dans la cuisine, surveillant l’avancement de leur repas et saisit la main de la femme plus jeune. "Gabrielle, j'ai besoin de ton avis sur quelque chose," gronda t‘elle.

Gabrielle leva de grands yeux vers son amie. "Xena ... maintenant ?"

"Uh huh." Xena l’entraina à la chambre à coucher et fit claquer la porte.


                                                                      **********


Iolaus remua le pot sur le feu, se demandant ce que Xena pouvait montrer à sa femme qui prenait autant de temps. Il secoua la tête affectueusement. Les femmes...


                                                                      **********



Gabrielle trébucha dans la cuisine, rectifiant sa jupe. Elle s’appuya contre le plan de travail pendant une minute. "Qu’est-ce que je faisais ?" Demanda t’elle.

 
"Tu préparais le déjeuner."

"Le déjeuner ?" Elle posa deux doigts sur son front. "Ok. Laisse-moi juste une seconde pour me rappeler ce que c’est."


                                                                      **********


Trois lunes plus tard...

 
Iolaus regarda sa femme déballer ses affaires. "Mon vieux , je suis fatigué," bailla t’elle.

Fatiguée? Cela voulait dire qu'elle ne voudrait pas--

"Si je n’avais pas ce mal de tête atroce, j’aurai l’impression d’être morte là tout de suite."

Oh. Iolaus s’assis sur le bord du lit tandis que Gabrielle sortait le tissu noir, en lambeaux à présent.

"Bonté divine. Qu'est-ce qui s’est passé ?" Iolaus inspecta le tissu déchiré.

"J'ai été attaqué par un maniaque sexuel."

"Ca alors ! Où était Xena ?"

"Juste là avec moi." Gabrielle sortit une paire de sous-vêtements déchirés du sac et la jeta sur le lit.

"Gabrielle! Était ce la même rencontre ?"

Elle prit le vêtement et l’étudia un instant. "Non, c’était deux ou trois jours plus tard, je crois." Elle fouilla dans son sac à nouveau et commença à sortir une autre pièce, puis elle changea d'avis et mis le sac sens dessus dessous, entassant une pile de vêtements déchiquetés.

"Zeus, Gabrielle! Combien de fois as tu été attaqués ?"

"Combien de jours sommes nous partis ?"

"Hé, où êtes vous ?" La voix de Xena résonna dans la chambre.

"Nous sommes dans la chambre à coucher," répondit Gabrielle.

"Nous devons probablement y aller, Gabrielle," dit Iolaus. "Ils ne rentreront pas ici s'ils pensent qu'ils interrompt-"

"Hé!" Xena lança un sourire éclatant en franchissant le seuil de la porte.

Hercule suivit quelques pas derrière, jetant un coup d'oeil prudent par le rideau.

Xena s’avança vers Gabrielle et entrelaça ses doigts avec ceux du barde. "Contente de te revoir, Iolaus," dit-elle par dessus son épaule.

"Merci." Sa mâchoire tomba. "Mince! Qu'est-ce qui t‘es arrivés, Xena ?"

"Hmm ?"

"Ces griffures." Il montra son dos.

"Oh, rien de grave. Elles viennent de ma lutte avec Gabrielle dans les buissons."

Hercule sourit. "J'admire ton ambition, Gabrielle. Je ne suis même pas sur de pouvoir y arriver. Comment a t’elle fait, Xena ?"

"Elle m’a donné tout ce qu'elle avait," répondit Xena, "mais j‘ai fini par avoir le dessus."

Gabrielle se tourna pour faire face à son amie. "J’ai eu le dessus en premier," résista-t-elle, se heurtant légèrement contre la poitrine de Xena.

"Alors j'ai pu t'avoir." Les femmes bloquèrent leurs regards ensemble. "Je crois que c’était un match nul," dit Xena chaleureusement. "Nous devrions avoir un match retour."

Les yeux de Gabrielle brillèrent et elle hocha la tête.

Iolaus ricana, imaginant son petit barde essayant d'immobiliser le féroce guerrier. "Bien, je suis heureux que vous soyez revenues toutes les deux saines et sauves," déclara t‘il. "C’est bien de pouvoir être réunis tous ensemble pendant un moment."

Hercule secoua la tête. "J'ai peur que non, mon ami. Xena m’a dit que nous sommes attendus d’urgence à Tyral."

"Tyral ? Où est ce ?"

Xena déplia une carte dessinée à la main sur la table de chevet, montrant un petit point d’une longueur d'une main au nord de leur position actuelle.

Gabrielle examina la carte un moment. "Non, Xena, je pense que tu te trompes." Elle posa la main sur celle de Xena et dirigea doucement son doigt vers le haut du dessin. "C'était Tuvalle, n'est-ce pas ?"

"Bien joué, Gabrielle," dit Xena. "Je veux dire, c’est bien que tu ai rattrapé mon erreur."

Iolaus resta bouche bée devant la carte. "C'est un voyage de quatre mois!"

"Hmm ... je crois que tu as raison," fut d'accord Xena. "Le, euh," elle jeta un coup d'oeil à la carte, "Le Tuvallien que nous avons rencontré nous a dis qu'ils ne leur restait seulement que quatre mois de nourritures. Si cette-" Elle fit une pause et regarda Gabrielle.

"Harpie."

"Cyclope." Les femmes parlèrent en même temps.

"- harpie de cyclope n'est pas vaincu à ce moment là..." Xena secoua la tête, les yeux fermés. "... Les enfants...."

Gabrielle tamponna le coin de ses yeux avec une bande de sous-vêtements.

"Wow, Herc, s'il ne leur reste que quatre mois de vivres, il n'y a pas de temps à perdre!"

Hercule s’approcha de son épouse. "Je suis désolé, Xena. Nous devons y aller."

Elle hocha la tête. "Je savais que tu le ferai." Elle tourna sa joue pour un rapide baiser.

Iolaus s’avança vers Gabrielle, mais à ce moment elle fut attirée dans les bras consolant de Xena. Iolaus sourit de reconnaissance à la guerrière. "Je suis heureux que Gabrielle ai quelqu'un pour lui remonter le moral quand elle est seule." Il tapota l'épaule du barde.

"Assures-toi qu'elle ne se morfonde pas trop."

"Ne t’inquiètes pas," dit Xena. "Je m’occuperai d’elle le temps entier où tu seras partis."

En moins d'une heure, les héros commencèrent leur long périple, des faibles sons atteignant leurs oreilles alors qu’ils s’éloignés de la maison.

"Ohhhh, Gabrielle, c’est tellement bon ... mmmmm..."

Les hommes s’arrêtèrent pour écouter un instant et Iolaus se tourna vers son compagnon.

"Tu sais, Herc, parfois quand j'entends ces deux là, ça me fait réfléchir."

"Moi aussi."

"Tu penses à la même chose que moi ?"

Hercule hocha la tête. "Ouais". Il sourit et posa une main sur l'épaule de son ami. "Comment deux grands idiots comme nous peuvent t’ils être aussi chanceux ?"

"T‘as deviné." Iolaus sourit et le duo continua son voyage.


                                                                                            FIN




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